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Post Tenebras Rock Inventaire complet (pdf)

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Présentation du fonds

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  • Identification
  • Cote
    PTR
  • Dates extrêmes
    1980 - 1999
  • Importance matérielle et support
    8,00 ml. Documents textuels et iconographiques

  • Contexte
  • Nom du producteur
    Post Tenebras Rock
  • Histoire administrative

    Suite à une rencontre sur le problème de la jeunesse et du rock à Genève entre le conseil administratif et les différents organisateurs de concerts de musique électrique (Rock autochtone, Parano Concerto, Infor Jeunes, Agitato, Changé, Le Cab, Twist et Scooter et huit pesonnes indépendantes), le Conseil administratif invite ses derniers à se regrouper en association faîtière afin de faciliter les négociations.

    La première assemblée pour l'Association en faveur du développement de la musique électrique tient sa première assemblée au centre de loisirs de Carouge en mars 1983. Des différends concernant principalement autour de la représentativité du comité ne tardent pas à apparaître entre les différentes associations scindé en deux mouvances : une qualifiée de socio-culturelle et une autre plus commerciale. Néanmoins 21 concerts sont organisé d'Avril à Juillet 1983. Les différends se règlent au mois de septembre et la fin de l'année voit la création du journal de PTR " Un Vrai Massacre ". PTR est subventionné par la Ville au coup à coup.

    L'année suivante PTR commence à se mobiliser afin de trouver une réponse à ses problèmes de salle de concerts. Les salles de spectacle de la Ville se révélant inadaptée et trop chère pour l'organisation de ce type de manifestations. Un programme de lieu permanent est remis au Conseil administratif à la fin de l'année et une enquête est menée par PTR sur la politique culturelle de la Ville comparée à la situation de sept autres villes en Suisse. Une motion intitulées " Salle pour le rock ou musique jouée par les jeunes " est déposées par deux conseillers municipaux socialistes.

    En 1985 l'association Etats d'Urgence revendique elle aussi un lieu permanent à vocation multiculturel cette fois, elle propose pour ce faire la réaffectation d'un bâtiment désaffecté. En décembre la Ville dépose l'avant-projet du centre rock évalué à 5 millions.

    1986 voit une pénurie des salles encore plus forte, la situation est bloquée. C'est finalement e 1987 que le Conseil municipal accepte la proposition du Conseil administratif de remise en état de l'UGDO.


  • Contenu et structure
  • Accroissements

    Oui


  • Conditions d'accès et d'utilisation
  • Conditions d'accès

    Consultable selon les délais et restrictions en vigueur dans les archives publiques genevoises.

  • Condition de reproduction

  • Instrument de recherche

    Répertoire numérique


  • Sources complémentaires
  • Existence et lieu de conservation des copies

    Il n'existe aucune copie de ce fonds


  • Contrôle de la description
  • Notes de l'archiviste

    Description réalisée par Didier Séverin

  • Date(s) de la description
    Juin 2000